Les histoires qui circulent...
Sur un site d'élevage de chevaux (Equideow, www.equideow.com) où j'ai été inscrite, circulent des histoires de maltraitance et d'hippophagie destinées à convaincre de plus en plus de personnes que l'hippophagie, c'est horrible. Je les ai réunies ici.
1) L'histoire d'Ange (la plus connue)
J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais "ils" sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux henissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je "les" ai vus. Derrière eux, j'ai vu des cavaliers du club pleurer. Puis j'ai entendu ces mots que je n'ai pas compris : "on ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarasser de ceux qui ne nous sont pas indispensables. Or, Ange n'a pas eu de très bons résultats aux derniers concours." Ange, c'est moi. C'était moi. "Ils" m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, un ponette qui s'était blessé à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long puis "ils" nous ont fait descendre dans une cour. Ca sentait bizarre : le sang, la mort, le crottin... Puis "ils" nous ont fait monter dans un gros camion où il y avait déjà une dizaine de chevaux qui hennirent en nous voyant. Mais ce n'était pas un hennissement que je connaissais. C'etait un hennissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur. La vraie Peur. Je ne l'avais jamais connue jusqu'ici, cette Peur que l'on ressent quand on ignore quelque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est amplifiée, c'était à la limite du supportable. Puis le camion a démarré brutalement.
On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fait connaissance avec le cheval qui était à côté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure à la jambe qui s'infectait peu à peu. Puis "ils" ont fait monter d'autres chevaux. Pour qu'on se pousse, ils nous ont fouettés. Et là, Indy a trébuché. Il est tombé. Et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrances horribles, il s'est éteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu à peu, d'autres chevaux sont morts. De soif, de faim, de leurs blessures, de désespoir. Enfin, le camion s'est arrêté. "Ils" ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglé. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'étais obligé d'avancer dans d'interminables couloirs hantés par le sang, la peur et la mort. J'ai entendu un cheval hennir et j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivés dans une grande salle avec un plancher en fer, et "ils" ont fermé la porte et nous ont laissés là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi.
Puis, un jour, "ils" sont venus me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurai eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans une salle où l'odeur, l'ambiance, m'ont fait paniquer. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, "il" est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir...
Ange est mort. Il a rejoint le paradis des chevaux où il a retrouvé Canelle et Indy.
Cette histoire ne possède AUCUNE exagération. Tous les jours, des centaines de chevaux subissent ça. Alors, si vous avez un coeur, même de pierre, réagissez.
Cette histoire est horrible alors copiez la partout pour les chevaux. Il faut que les choses changent car aucun cheval même aucun animal ne mérite une chose pareille...
2) L'histoire d'un poulain, un parmi tant d'autres...
J'étais un poulain ordinaire, au début en tout cas... Je n'avais que 6 mois et demi, lorsque l'éleveur vint me chercher au petit matin, alors que ma mère dormait encore. Il me passa un licol et m'emmena ; je pensais qu'on allait se promener, alors je me laissai faire. Mais il m'emmena vers un énorme camion dans lequel il avait d'autres chevaux ; ils hennissaient tous plus fort les uns que les autres. J'entendis tout un coup le hennissement de ma mère. Je tirai de toutes mes forces pour rejoindre « maman », mais quelque chose me fit mal, et j'arrêtai de tirer. On m'obligea à coups de fouet et de bâton à monter...
*Maman, pensai-je, pourquoi tu m'as laissé partir, pourquoi tu ne m'as pas sauvé, pourquoi, pourquoi ?*
Le voyage dura plus de 20 heures, on devait rester debout, je commençais à avoir soif et faim, et je hennis en espérant que l'on me donne de l'eau et de la nourriture, mais je n'eus rien...
On finit par nous débarquer dans un immense hangar humide et sombre. Je fus le premier à sortir. On m'attacha plus loin, et je pus voir, avec mes yeux de 6 mois, la mort : plusieurs cadavres de chevaux et de poulains étaient sortis, puis étendus devant moi, devant mes yeux... On m'emmena de force dans un couloir. Je hennis plus fort, utilisant mes dernières réserves de santé. On me força à avancer, et puis, tout d'un coup, quelque chose me tomba dessus. Je n'eus pas le temps de regarder, mais je pus sentir un liquide chaud, qui coulait sur mes membres avant... et je compris l'incompréhensible... J'étais en train de mourir, et mes dernières pensées furent pour ma mère, elle qui aujourd'hui était si loin de moi, elle qui, dès demain revivrait la même histoire, avec autre poulain, et son calvaire ne se finirait que lorsqu'elle n'aurait plus la force de donner la vie, pour qu'on la lui prenne aussi vite... A toi maman, toi que j'aime, toi qui auras su me rendre heureux pendant un court instant de ma pauvre vie...
Combien d'autres poulains et chevaux adultes devront finir ainsi avant que cela s'arrête ?
3) L'histoire de Belle
Un jour, lors d'une compétition de saut d'obstacles, Belle, une jeune jument noire, fit une mauvaise chute. Son cavalier ne survécut pas et Belle fut blessée à la jambe postérieure droite. Comme le centre équestre avait de gros problèmes financiers, le propriétaire envoya la pauvre Belle à l'abattoir. Le lendemain, deux hommes vêtus de longues tuniques blanches tachées de sang vinrent chercher la jument souffrante. Belle rua malgré la douleur. Mais ils réussirent tout de même à l'entraîner dans le camion. À l'intérieur, un viel étalon nommé Black se mourait, une jeune ponette appaloosa souffrait ; un jeune poulain palomino en pleine forme et une jument alezane ayant la jambe antérieure gauche fracturée s'y trouvaient également.
Le camion fit plusieurs kilomètres avant de s'arrêter. La porte s'ouvrit. Les hommes se mirent à crier pour faire sortir les chevaux de la remorque. Belle fut bousculée par les autres. Black resta allongé au fond de la remorque, on ne put rien pour lui : il était mort de souffrance, de peur et de soif. Belle, elle, fut emmenée dans un couloir très sombre, où une odeur de sang remplit ses naseaux. Quelques minutes plus tard, un grand homme prit la jument et l'amena dans une salle avec de l'eau et de la nourriture. C'était délicieux. Mais cela ne dura qu'un bref instant. L'homme revint la chercher et l'emmena dans une salle où il faisait très froid. Il la frappa à coups de barre de métal. Puis il jeta sa barre par terre. Il prit un couteau fraîchement aiguisé et l'enfonça dans la gorge de Belle. Elle rua et tomba dans une flaque de son sang. NOIR...
Belle se rendit au paradis des chevaux, là où la maltraitance ne la ferait plus jamais souffrir...
Il n'y a AUCUNE exagération. Chaque jour plusieurs dizaines, voire centaines de chevaux subissent le même sort que la pauvre Belle !!!!
4) L'histoire d'Equatara (De la maltraitance pure, sans qu'il soit trop question d'abattoir cette fois-ci...)
Je m'appelle Equatara, j'étais la jument d'un propriétaire riche mais cruel ; je vais vous raconter mon histoire.
Tout commence toujours par les même choses : vous avez un propriétaire comme tout les chevaux en rêvent et puis, d'un coup, il vous vend pour je ne sais quelle raison (pour l'argent peut-être) ; et puis moi j'ai atterri dans un château d'où le propriétaire n'était autre qu'un homme des plus cruels. Tout d'abord, je suis allée dans les écuries, et puis, une semaine plus tard, on me monta. C'était si différent de mon ancien maître ! Celui-ci ne me pardonnait pas, même à la moindre erreur, et moi je ne le savais pas, j'ai voulu me défouler et puis je suis partie en coups de culs incontrôlables : l'erreur à ne pas faire. Après, tout s'est passer trop vite. Mon cavalier est tombé et il a dit une chose dans le genre : "tu vas me le payer". Et il est parti.
Une semaine plus tard je vivais le martyre. Je n'avais plus d'eau ni de nourriture, et le pire était que j'étais attachée à une chaîne de fer rouillé qui m'entaillait la chair. Mon maître ne venait plus me voir, et, quand il passait, c'était pour me frapper avec sa matraque. Une fois, j'ai voulu m'échapper de cet enfer. J'ai tiré sur la chaîne et, à ce moment là, j'ai entendu une de mes vertèbres se briser, mais ça ne m'a pas empêchée de continuer. Finalement, la chaîne à cédé et je me suis enfuie... quelques jours plus tard j'étais de retour en enfer, et comme punition mon maître a acheté un étalon ; il m'a fait saillir jusqu'à ce que j'en devienne malade, très malade. L'étalon, lui avait été envoyé à la boucherie, et mes poulains, dès que je les avait mis au monde, mon maître leur avait réservé le même sort.
Et puis, un jour, le facteur est passé et m'a vue. Il s'est approché de moi... j'étais maigre, malade et ma vie ne tenait plus à grand chose. Le facteur a appellé la société protectrice des animaux mais il était trop tard : mon maître, apercevant le facteur, prit son fusil de chasse et me tira dessus, puis c'était à son tour ; on entendit la femme de maison crier, mais moi j'étais allongée par terre et le facteur à mes genoux me carressait... Puis il m'a fermé les yeux et à ce moment-là j'entendis une voiture s'arrêter ; d'autres personnes vinrent à côté de moi...
Et juste après, plus rien, j'aperçus juste une parcelle verte avec des milliards de chevaux et, au loin, je voyais mon étalon et mes poulains. J'étais désormais sauvée.
Et voilà, l'histoire de certains chevaux, peut-être pire ou peut-être mieux que celle d'Equatara, mais à chaque fois ils finissent par retrouver leurs amis comme son étalon et ses poulains pour l'héroïne...
Quel cheval mérite ça ?
5) L'histoire de Bonny
Voici une petite histoire que beaucoup trop de chevaux ont vécu...
Un jour, je suis né. J'étais très content de voir ma maman et mon papa, j'étais heureux de vivre. Les années ont passé ; un jour, j'ai vu un gros camion arriver, et puis des personnes sont sortis. Ils sont entrés dans l'écurie et ils ont pris mon papa. J'ai senti que quelque chose de grave allait se passer, et puis papa est passé près de mon box et il ma donné un dernier bisou. Ma maman était triste comme tous les autres chevaux.
Mon papa m'a dit : "J'espère que tu vas bien grandir et que cela ne t'arrivera jamais.
- Quoi papa ? Qu'est-ce qui va se passer ?"
Et puis il sont partis et mon papa n'est jamais revenu...
Un jour, ma maman est morte... J'ai vu le même camion revenir, puis des personnes sont sorties et elles se sont arrêtées devant mon box. J'ai entendu : "c'est ce cheval qu'on doit prendre ?"
Puis un voix que je connaissais a dit "oui" en pleurant. J'ai senti la peur, et là je me suis rappelé qu'ils avaient pris mon papa aussi. Ils m'ont sorti de mon box et ils m'ont pris dans le camion avec d'autres chevaux. Ils ont refermé la porte... et on a fait un long voyage sans eau ni nourriture...
Et puis ils nous ont fait sortir ; tous les chevaux se bousculaient. Ils m'ont emporté dans une autre salle, il y a une personne qui a dit quelque chose... J'ai juste reconnu le mot "mort". Alors tout dans ma tête s'est éclairé, je savais ce qui allait arriver.
J'ai fermé les yeux et à ce moment-là j'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge... Je n'ai plus rouvert les yeux ; je sentais que je m'envolais... Et quand j'ai rouvert les yeux je ne savais pas ou j'étais mais je ne me suis pas préoccupé de ça, car j'ai vu papa et maman venir...
J'ai vécu éternellement au paradis.
Plein de chevaux subissent ce sort.
Réfléchissez, comme vous seriez offusqué et triste si quelqu'un voulait vous tuer pour vous manger.
Réfléchissez avant de dire que ce sont juste des animaux car nous aussi on en est...
Et puis, quelqu'un a vu un cheval nous manger ?!?!?!?!?
6) L'histoire de Lixia (Ou comment perdre la vie dans son pré...)
J'étais dans mon pré, en train de brouter la bonne herbe de juin. A un mètre de moi, Istory, la jument avec qui je partage mon pré, se roulait sur le sol. Plus loin, je voyais la maison de mes propriétaires, avec, à côté, mon box et celui d'Istory. C'est dans mon box, le plus grand des deux, que je suis née, que j'ai grandi, que j'ai rencontré Julia, la fille des propriétaires, qu'elle m'a pansé pour la première fois, qu'elle m'a bridée et sellée pour la première fois. C'est dans ce pré que nous avons galopé ensemble pour la première fois, et c'est moi qui lui ai fait remporter sa première compétition. Mais, depuis quelques années, mes forces commencent à disparaître, sûrement à cause de mes 25 ans. Cela fait environ trois ans que Julia, me trouvant trop faible pour continuer à voler au-dessus des obstacles, m'a mise à la retraite, et me laisse couler des jours heureux dans ce pré avec Istory.
Je regardais ma camarade de pré se rouler avec joie sur le sol, quand j'entendis des pas venir vers moi. Je poussai un hennissement joyeux en voyant Julia, désormais âgée de 30 ans, venir vers moi, un licol dans la main, une pomme appétissante dans l'autre. Je m'approchai d'elle, et elle m'emmena dans la cour, à proximité de mon box, où elle attacha la corde de mon licol. Quelques secondes plus tard, une sensation agréable me parcourut : celle d'une étrille, passée doucement sur ma robe. Une vingtaine de minutes plus tard, après qu'elle ait fini de me panser et qu'elle m'ait mis ma couverture, elle me ramena dans mon pré, où je pus piquer un bon galop avec Istory. Plus tard, une lumière orangée illumina le ciel, et les premières étoiles apparurent. Avec Istory, nous nous sommes allongées sur l'herbe chaude, et nous avons dormi côte à côte, comme toujours depuis désormais 20 ans.
Quelques heures après, je me suis réveillée. De soif. J'ai marché jusqu'à l'abreuvoir, mais il était vide. Ce n'est pas grave, je sais que Julia le remplira dès demain matin. J'allais retourner dormir auprès d'Istory, quand un bruit, au loin, a attiré mon attention. Ce bruit, je le connaissais vaguement, c'est celui d'un appareil dont Julia se sert parfois pour se déplacer. Mais là, j'entendais très bien plusieurs appareils. Le bruit a réveillé Istory, et nous avons toutes les deux vu une dizaine de ces appareils sur deux roues s'arrêter devant notre pré. Les personnes assises dessus ont enlevé les casques qu'ils portaient. Ils ont discuté un moment, puis sont entrés dans notre pré. L'un d'eux portait de grandes caisses remplies de bouteilles. Il les a posées, puis les dix personnes se sont approchées de nous. Par instinct, par peur, Istory et moi avons galopé à l'autre bout du pré. Du moins, nous avons essayé. Car certaines de ces personnes nous ont barré la route. Je sentais la peur grandir en moi, jusqu'à ce qu'elle laisse la place à la panique. Avec Istory, nous avons toujours essayé de nous enfuir, mais ils nous barraient la route, de tous les côtés...
Je ne sais pas pendant combien de temps ils nous ont fait galoper comme ça, mais quand, enfin, ils ont arrêté, j'avais du mal à tenir sur mes jambes. Même lorsque j'allais en compétition, je ne galopais pas aussi vite. Et surtout, j'avais soif. Plus soif que jamais. L'une des personnes a semblé s'en rendre compte, elle a crié quelque chose aux autres, qui ont éclaté de rire avant de dire quelque chose qui ressemblait à "vas-y, essaye, ce sera marrant !". La personne s'est approchée de grands paquets enveloppés dans du carton, et en a sorti des sortes des bouteilles de verre. Il les a ouvertes, et, l'une après l'autre, les a versées dans notre abreuvoir. Enfin ! J'allais enfin pouvoir boire.
Je m'approche de mon abreuvoir et bois une longue gorgée, avant de pousser un hennissement déchirant. Je ne sais pas ce qu'il y avait dans ces bouteilles, mais le liquide m'a brûlé la gorge. Mon coeur s'accélère. Je repars au galop, effrayée par cette brûlure qui m'a traversée au moment où j'ai bu ce liquide étrange. Puis je m'arrête. De fatigue. Ce liquide fait battre mon coeur de plus en plus vite, et j'en peux plus. Je m'effondre sur le sol. J'entends Istory galoper vers moi. Mais je n'arrive plus à la voir. Je n'ai plus qu'une seule force : celle de hennir, le plus fort que je peux. Quelques secondes après mon hennissement de détresse, j'entends des pas courir vers moi. Les humains repartent avec leurs machines sur deux roues. Je vois une humaine courir vers moi et tomber à genoux à mes cotés, c'est Julia. Mais je sais qu'il est trop tard. Je n'ai plus de force, plus de souffle. Tout se brouille autour de moi. Je n'entends plus rien. Je ne vois plus rien.
Noir.
Lixia est morte. Elle est allée au paradis des chevaux, où elle galope désormais librement, loin de ces monstres qui l'ont tuée. Cette histoire est réelle, et parce que ça vous a choqué, faites quelque chose, et luttez, par tous les moyens possibles, contre ces criminels qui n'ont rien d'autre à faire que d'épuiser nos chevaux avant de les forcer à boire de l'alcool !
Même sans parler des abattoirs, voyez comme les humains arrivent à tuer les chevaux de manière horrible !
On parle souvent des conditions de vie déplorables des humains. Mais parce que ces histoires sont vraies et horribles pour les chevaux, je pense qu'on devrait également davantage se tourner vers ces chevaux, tous ces animaux qui n'ont jamais eu leur destin entre leurs mains, mais qui subissent de telles horreurs alors qu'ils se sont toujours donnés à fond pour nous. Eux n'ont jamais eu le choix, mais payent le prix de la stupidité de certains humains de leur vie. Alors dites-moi, que leur donne-t-on en échange de leur coopération sans faille ? Pour certains, c'est bien la mort qui les attend au tournant...